l'Or

OR MONDIAL

L’or déjà extrait ou à extraire est un enjeu géopolitique


La quantité d’or dans le monde est estimée à plus de 250 000 tonnes.

197 576 tonnes d’or, représentant les deux tiers de l’or terrestre, auraient été extraites au cours de l’histoire.

54 000 tonnes, représentant un tiers de l’or terrestre, resteraient à extraire des réserves souterraines.

Le 5 août 2020, l’or atteignait le prix le plus haut jamais enregistré à 2048 dollars l’once.

C’est pourquoi, tant l’or physique déjà extrait que les réserves restant à extraire sont un enjeu géopolitique, chaque pays tentant de renforcer sa position sur le marché de l’or.


L’or, actif refuge renforcé par la COVID

Selon Madame Wu Xiaoling, ancienne vice-gouverneure de la Banque populaire de Chine (BPOC), dans ce pays comme ailleurs sur la planète, l’or est reconnu comme un actif refuge, très liquide, qui ne comporte aucun risque de contrepartie et prend tout son sens en période d’incertitude.

L'or est également souvent décorrélé des autres actifs. Autrement dit, lorsque le cours des actions et des obligations baisse, le prix de l'or a tendance à augmenter.

Dans un contexte d’incertitude économique et géopolitique croissante, l’or suscite un intérêt croissant comme une classe d’actifs à part entière, en particulier après un marché haussier des actions depuis une décennie.

Sur fonds de renforcement de l’or comme actif de réserve, la conjoncture internationale est devenue favorable pour acheter de l’or. Cette évolution est renforcée par la crise sanitaire due à la COVID-19.

À ce propos, en juillet 2020, le World Gold Council soulignait : « La pandémie aura probablement un effet durable sur l’allocation des actifs. Elle renforcera également la valeur de l’or en tant qu’actif stratégique ».


Stratégie des banques centrales

L’or, cible des banques centrales

L'intérêt de l’or comme actif de réserve fût attisé par les tendances des banques centrales à acheter de l’or en plus grande quantité que jamais auparavant depuis 1971.

Après 2000, les banques centrales devinrent acheteuses d’or. La recherche de la protection de l’or contre les chocs internes et externes et le gage de confiance pour le monde extérieur placèrent alors l’or en troisième position des actifs de réserve.

En 2018, les banques centrales ajoutèrent plus d'or à leurs réserves internationales que depuis la fin de Bretton Woods, il y a près de 50 ans.


Petits producteurs

Les petits producteurs contribuent à l’effort national

Parmi les stratégies d’achat, certaines banques centrales acquièrent de l’or grâce à la production locale. Dans ce cas, l’institution étatique achète de l'or en utilisant la monnaie locale préférée à une monnaie internationale.

L’appui sur les petits producteurs pour augmenter les réserves des banques centrales contribue au développement durable des pays, notamment en soutenant l’économie des zones rurales et l’économie secondaire des communautés associées.

Depuis 1991, l’exemple du programme d’achat d’or local par la banque centrale des Philippines est emblématique. L’or non raffiné est acheté directement auprès des mineurs et garantit le prix international de l'or en vigueur pour les transactions, converties en pesos philippins.

Ensuite, la banque centrale raffine l'or aux normes internationales, le conserve dans ses réserves ou le vend sur le marché international. De tels programmes sont aussi mis en place par la Mongolie et la Russie.

Ces exemples peuvent inciter à un nouvel élan les pays dont les ressources extractives sont importantes, particulièrement en Afrique, afin de contribuer au développement durable des pays et au bien-être de leurs populations.


Le développement durable de l’Afrique

Les ressources du sous-sol, moyen de développement durable

Les pays africains dépendent toujours du soutien des grandes institutions financières internationales, mises en place après les accords de Bretton Woods qui ont dessiné les grandes lignes du système financier international en 1944.

De nombreux dirigeants pensent que l’Afrique ne peut plus faire dépendre des contribuables internationaux ses budgets de développement durable. Aujourd’hui, ce continent doit être capable de financer ses besoins élémentaires en exploitant les ressources de minéraux de son sous-sol.

L’Afrique doit s’orienter vers un modèle indépendant de développement durable : développer le sous-sol pour équiper le sol en infrastructures et équipements pour in fine bénéficier aux populations, particulièrement la jeunesse.


L’or de l’Afrique

Le commerce de l’or échappe souvent aux pays africains

L’Afrique possèderait encore 30% des réserves mondiales. Ce potentiel de ressources naturelles extractives peut représenter un important gisement de ressources pour des pays en développement.

Cependant, si les réserves sont importantes, quand le prix de l’or et la demande sont en forte augmentation, l’Afrique ne bénéficie pas suffisamment de ces opportunités.

Sur ce continent où l’exploitation minière artisanale est répandue, les trafics et la contrebande s’intensifient, rendant complexe la question du négoce d’or et de sa profitabilité aux communautés qui les extraient et aux États qui les encadrent.

Les filiales africaines d’Al-Qaïda et de l’État islamique, les milices paramilitaires attaquent les exploitations minières industrielles, rackettent les petites exploitations minières artisanales et privent les finances des États de revenus.

En République Démocratique du Congo, l’exploitation artisanale est dominée par la contrebande. Les prix locaux proposés par les acheteurs ont baissé. Les mineurs artisanaux sont les grands perdants. Les échanges commerciaux échappent à l’administration congolaise. Les transactions commerciales manquent de transparence et sortent des réseaux bancaires officiels.

Au Soudan, la contrebande entraîne aussi une importante perte de revenus pour l’État. Le Premier ministre, Abdallah Hamdok, est déterminé à formaliser et libéraliser le commerce de l’or et à ramener au pays les revenus qui en découlent. Mais de nombreuses mines d’or sont contrôlées par des sociétés de l’ombre ayant des liens avec les services de sécurité de l’ancien régime du Président Béchir.

Les Émirats Arabes Unis importent annuellement plus de 450 tonnes d’or en provenance d’Afrique. Le commerce de l’or représenterait environ 20 % de l’économie du pays. Mais l’écart entre le rapport entre les quantités d’or exportées et achetées lèvent le doute. Certaines organisations ont placé Dubaï sous surveillance, se plaignant de la contrebande d’or et du blanchiment d’argent.

Au moment où les cours s’envolent, la production aurifère sud-africaine s’effondre. Pour des questions de rentabilité, les grandes entreprises changent leur stratégie. D’autres pays où l’extraction est encore artisanale s’imposent sur le marché de l’or : Ghana, Soudan, Burkina Faso, RDC. Sur ce marché, la République centrafricaine où entre 20 et 30% de la population dépendent de l’exploitation minière artisanale, le pays a une bonne carte à jouer.

Dans ce contexte, l’exploitation artisanale de l’or en Afrique a besoin de soutien et son commerce de transparence. A cette fin DiamaaGold lance une initiative de digitalisation de l’or extrait et restant à extraire, dont la République centrafricaine est la première cible.


Un réseau global

Bâtir un réseau mondial d’exploitation, d’approvisionnement et de distribution de l’or

DiamaaGold accumule de l’or physique provenant de ses achats directs et contrats à terme négociés en Afrique, puis émet de l’or digital sous forme de stablecoins soutenus soit par l’or collecté, soit par les ressources d’or estimées.


De l’or physique aux jetons de sécurité

Au fur et à mesure de la collecte d’or auprès des coopératives et des exploitants artisanaux, DiamaaGold émet des stablecoins AUT Gold Trade garantis par de l’or physique certifié, conservé chez nos partenaires et échangeables sur votre wallet et sur la Blockchain. DiamaaGold émet aussi des stablecoins AUJ alignés sur la valeur de l’or, garantis par l’or à extraire des concessions accordées par le gouvernement et échangeables sur votre wallet et sur la Blockchain Ethereum et Stellar


Le modèle AUT Gold Trade de DiamaaGold

Le modèle AUT Gold Trade de DiamaaGold

DiamaaGold crée l’option de financement AUT Gold Trade qui offre liquidité, sécurité et valeur aux acheteurs et propriétaires potentiels d’or.

Le négoce d’or est une activité dont la réglementation varie selon les États. Lorsque certains contrôlent et supervisent le négoce de l’or, d’autres peinent à formaliser le marché. Les bénéfices de ce commerce échappent alors autant aux communautés qui le génèrent qu’à l’État qui le réglemente.

C’est pourquoi la rareté de l’or suppose de mettre en œuvre un approvisionnement transparent. À cette fin, DiamaaGold s’appuie sur un réseau de coopératives et d’exploitants artisanaux, avec le soutien des autorités gouvernementales dont l’intérêt est de formaliser le marché. Si l’objectif de moyen terme de DiamaaGold est d’associer plusieurs pays africains, la République centrafricaine constitue l’objectif immédiat.

En s’appuyant sur ces producteurs locaux, DiamaaGold met en place un réseau d’approvisionnement afin de créer ses propres réserves d’or.

Celles-ci sont utilisées pour soutenir l’émission d’or digital sous forme de stablecoins AUT Gold Trade pour un montant équivalent à l’or physique extrait à un taux préférentiel de moins 10% par rapport au marché.

Le modèle AUT Gold Trade de DiamaaGold profite principalement aux propriétaires de stablecoins AUT Gold Trade qui bénéficient d’un bonus important au regard du marché.


L’or du sous-sol

De la mine aux jetons de sécurité

En s’appuyant sur l’or souterrain restant à extraire, DiamaaGold émet des stablecoins AUJ Gold Jäger pour contribuer à bâtir un écosystème minier durable et profitable aux communautés locales et aux pays en développement. Le modèle AUJ Gold Jäger de DiamaaGold

DiamaaGold crée l’option de financement AUJ Gold Jäger en faveur des coopératives et exploitants miniers, qui offre également liquidité, sécurité et valeur aux investisseurs et bénéficie aux coopératives et producteurs locaux.

DiamaaGold négocie des contrats d’extraction d’or avec les coopératives et les exploitants, et des permis avec les autorités gouvernementales puis utilise le volume d’or faisant l’objet du contrat pour émettre des stablecoins AUJ Gold Jäger à un taux préférentiel de moins 15% par rapport au marché

Les propriétaires de stablecoins AUJ Gold Jäger peuvent les échanger sur le réseau DiamaaGold et les Blockchain Ethereum et Stellar.

Le modèle AUJ Gold Jäger de DiamaaGold profite à tous les partenaires associés. Les coopératives et exploitants trouvent des opportunités d’investissement dans leurs entreprises. Les propriétaires de stablecoins AUJ Gold Jäger bénéficient de bonus très importants au regard du marché. DiamaaGold bénéficie de marges rentables. Les autorités gouvernementales bénéficient de la programmation de l’extraction, de la transparence du système et de levées de fonds potentielles.


Qualité de l’or

99,5% minimum

L’or physique détenu par DiamaaGold sera de qualité minimale 99,5% raffiné en République centrafricaine ou en Tanzanie. Sur demande, les propriétaires de stablecoins pourront bénéficier d’or physique de qualité 99,9% raffiné chez notre partenaire en Tanzanie. De la mine à la raffinerie

DiamaaGold a signé des contrats avec plusieurs coopératives, notamment la Coopérative Minière Catholique Centrafricaine chargée de recruter d’autres coopératives et exploitants.

DiamaaGold est en négociation avec des partenaires de pays voisins, notamment le République Démocratique du Congo, pour conclure d’autres accords.

L’or collecté sera raffiné dans la raffinerie DiamaaGold établie à Bangui ou dans la raffinerie de Tanzanie

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